UNE CONFUSION FRANCAISE
M: Bonjour, monsieur. Il est bon de vous rencontrer.
F: Bonjour. Madame est américaine?
M: Oui. Vous reconnaissez mon accent?
F: Exactement. Est-ce que c’est votre première visite en France?
M: Non, je venue… uh… vingt années .
F: Ah, vous êtes venue il y a vingt ans?
M: Oui. Je souviens parce que notre président été Bush et j’ai mémorisé ça : « je suis désolée que notre président est un idiot. Je n’ai pas voté pour lui. »
F: Ha-ha! Oui, c’est très bien. Je devrais l’apprendre en anglais pour M Hollande, lors de mon dernier voyage aux États Unis.
M: Oui. Comment dîtes vous ? « Plus ça change, plus... »
F: « …plus c’est la même chose. » Oui. Parfaitement.
M: Maintenant, je dis, « je suis désolée notre président est encore pire. Je ne vote pas pour lui. Peu de gens vote pour lui. Il n’est pas notre faute. Il est la faut de Pootun. »
F: ...de qui? « Putin » ? Ou « Putain »?
M: Oh, vous savez. C’est fameux. Tout le monde le sait. Leurs rencontres sont dans tous les magazines.
F: ...ou peut-être, « Poutine »?
M: Vous savez quoi je parle. Le président est amoureuse de lui.
F: Oui, mais amoureux duquel entre les trois?—
M: Entre L'étroit? Je suis désolée. Je ne comprends pas.
F: Je ne vous suis toujours pas: vous parlez des chagrins de votre président, mais je ne sais pas si vous parlez de la putain, de M Putin, ou de la poutine.
M: Eh oui, exactement. Pootun, Pootun, pootun. C’est tout que nous parlons autour de. Et il y a cette grande procédé toujours.
F: Ha-Ha. Et celui là non plus, cela ne me fixe pas—
M: Je suis honteuse que ce homme si orgueilleuse devenu président. Il ne souci pas des morals de Pootun.
F: Et encore, ça peut toujours être tous les trois. Putin-Putain-Poutine. Les mœurs comment? Pornographiques? Meurtrières ? Ou bien gourmandises ?
M: Ha-ha! Tous les trois, n’est pas ?
M: Ha-ha! Tous les trois, n’est pas ?